L’orgueil démesuré de ce prince à l’allure pompeuse, me fit claquer les talons vers d’autres rivages qui me semblaient être de meilleurs augures.
Je décidai de quitter les sentiers propres et bien apprêtés, en faisant « le mur ». Comment aurais-je pu résister à cette allée si belle d’oliviers ?
Ces vignes si bien arrangées, prêtes à être vendangées,
sur terre plane ou vallonnée,
faisaient chantonner sous le mistral leurs feuilles.
La couleur argentée des feuilles d’oliviers…
ombraient et entouraient les ceps illuminés.
Il me fallait pourtant retourner, sur les chemins princiers…
Sans manquer de faire un clin d’oeil à ce bel olivier…
Nathalie
Le plaisir d’écrire